Gran Turismo 7 : Mon Test sur PlayStation 5 en 4K ! Une vraie lettre d'amour au sport automobile !

Mon Matériel :
* Moniteur Console : Philips Momentum 329M1 4K 32" VRR (https://www.philips.be/fr/c-p/329M1RV_00/momentum-moniteur-4k-hdr-avec-ambiglow#see-all-benefits)
* Ecran PC : AOC Gaming Monitor Q27G2S EU 2K 27" (https://eu.aoc.com/fr/gaming/products/monitors/q27g2s-eu)
* Micro : Trust GXT 255+ Onyx avec bras mécanique (https://www.trust.com/fr/product/24354-gxt-255-onyx-professional-microphone-with-arm)
* Siège Gaming : Recaro Exo 2.0 Lava (https://www.recaro-gaming.com/fr/produit/recaro-exo-lava-red/)
* Capture Ingame : AverMedia Live Gamer Ultra GC-553 (https://www.avermedia.com/fr/product-detail/GC553)

Intro :
Gran Turismo 7 est une simulation de course développée par Polyphony Digital sur PlayStation 4 et PlayStation 5. Après un GT Sport qui avait déçu au niveau de son contenu solo pour se concentrer purement sur le online, Sony se devait de réagir pour conserver sa licence automobile phare sur le podium et a mis les petits plats dans les grands avec cet opus cross-gen ! On retrouve donc avec plaisir le système de permis et une carrière solo conséquente qui s'étale sur plus d'une trentaine de circuits (et le double si on compte les versions inversées) et pas moins de 404 véhicules à collectionner pour le plus grand bonheur des fans ! Mais la quantité fait-elle la qualité, surtout quand on a en face une concurrence féroce avec GRID ou encore l'exclu Xbox Forza ? Venez le découvrir dans mon vidéo-test qui fleure bon la gomme brûlée et le Ray-Tracing !

Conclusion :
Que les amoureux de pure simulation se réjouissent : Gran Turismo 7 coche toutes les bonnes cases pour devenir un maître du genre ! Fort d'un catalogue monumental de 404 voitures dont la modélisation frise le photo-réalisme et d'effets de Ray-Tracing qui subliment les carrosseries, le titre offre un gameplay qui peut s'avérer incroyablement pointu pour qui aime mettre les mains dans le cambouis et la pléthore de réglages et d'options de customisation disponibles, tout en proposant une conduite d'une grande richesse et des sensations incroyables grâce au retour haptique et aux gâchettes adaptatives. On "ressent" vraiment notre voiture et les aléas des tracés. Mais rassurez-vous, le soft possède aussi de nombreux paramètres d'accessibilité qui le rendent jouable pour tous types de gamers. C'est simple : Gran Turismo 7 m'a définitivement réconcilié avec la pure simulation automobile, rien que ça ! Ajoutez à cela que le jeu jouit d'une fluidité de chaque instant, des plus beaux ralentis jamais vus dans un titre du genre, d'une bande-son de dingue, de bruitages grisants et de modes additionnels ultra chronophages comme les missions, les courses rythmiques, les photos dans des environnements réels, le multi en écran partagé et j'en passe, et vous comprendrez que l'on tient là un pur hit qui ne souffre au final que d'une obligation de connexion online, d'un gros manque de mise en scène dans les menus et de l'absence de doublages pour réellement atteindre les sommets. Il n'empêche : avec sa véritable encyclopédie dès que vous récupérez un véhicule ou accomplissez un défi, Gran Turismo 7 est tout simplement "LA" plus belle lettre d'amour au sport automobile (et à son histoire) !

La note : 18,5/20

Les points positifs : Un Ray-Tracing qui flatte la rétine/ Une modélisation photo-réaliste des véhicules/ D'incroyables sensations grâce à la DualSense/ Une fluidité de chaque instant/ Les courses rythmiques/ Une pléthore de modes de jeu et de courses/ 404 véhicules à collection/ Une bande-son et des bruitages au top/ Une pure simulation qui propose pourtant de belles options d'accessibilité/ Une durée de vie titanesque/ Un mode deux joueurs en écran partagé/ Le café et ses menus qui font office de carrière/ Une I.A. beaucoup moins "sur des rails"/ Le retour des permis/ Des ralentis de dingue/ La plus belle lettre d'amour au sport automobile

Les points négatifs : Aucun doublage/ Une connexion online obligatoire/ Une intro ultra longue lors de votre première partie/ Des menus austères qui auraient mérité une vraie mise en scène